Action contre les jouets sexistes Samedi 22 décembre


À BAS LES JOUETS SEXISTES !

Pour faire comme maman, les petites filles se font offrir des dinettes, des fers à repasser, ou des aspirateurs ...
Pour faire comme papa, les petits garçons se font offrir des outils de bricolage, des petites voitures, ou des tenues de guerriers...

Pourquoi trouve-t-on des pages bleues et des pages roses dans les catalogues de jouets? 

Pourquoi beaucoup de petits garçons s’imaginent-ils pilotes de course, pompiers ou aviateurs tandis que des petites filles disent simplement rêver... d’une maison?

Un coup d'œil aux catalogues de jouets ou dans les grands magasins, au moment de Noël, en apprend long sur la répartition des rôles et permet de se rendre compte de la spécialisation sexuée des jouets. 

C'est parce que le sexisme commence au berceau qu'il est si prononcé. 
 
Nous sommes contre la détermination sexuée des rôles (féminin/masculin), dans les jeux d'enfants, car elle participe de la construction du sexisme par l'éducation.
Nous proposons alors une action contre les jouets sexistes qui vise à bouleverser les normes établies dans les grands magasins. Cette action se rattache aux autres actions du même type réalisées dans de nombreuses villes en cette période.

Rendez-vous à 10h30 devant l'Étincelle (26 rue Maillé) pour l'action le samedi 22 décembre 2012.
Puis à 14h30 Place Romain auprès d'une table qui présentera des jouets non sexistes.


 
 
Manifestation samedi 15 décembre à Nantes pour lutter contre l'homophobie ambiante et pour revendiquer l'accès aux droits pour toutes et tous.

Un collectif unitaire d'association et d'organisation (notamment le Centre LGBT de Nantes, les durEs à queer, l'association contact, bien d'autres dont les signatures sont en cours de validation) appelle à manifester le 15 décembre à Nantes pour l'égalité des droits de toutes et tous et contre l'homophobie et sa recrudescence médiatique et quotidienne actuelle. Vous trouverez ci-joint l'appel à manifester. Nous vous invitons à rejoindre cet appel unitaire et à en être signataire.
D'autre part, cette mobilisation doit être une mobilisation d'ampleur. Après les parades homophobes qui se sont déroulées dans toute la France les 17 et 18 novembre, nous, progressistes, féministes, anti-racistes, défenseurs des droits humains nous devons affirmer que cette homophobie est inacceptable, que l’égalité doit triompher et que nous en sortirons tous et toutes gagnant-Es.


Voilà l'appel des durEs à Queer:

Pas de compromis avec l’homophobie, l’égalité sans concession!

La proposition de loi sur l’ouverture du mariage pour tous a été l’occasion saisie par les réactionnaires pour occuper l’espace médiatique. Parades homophobes, agression de militantes et de journalistes, un déferlement obscurantiste s’est abattu sur le pays.

L’égalité des droits pour toutes et tous

Il n’est pas acceptable qu’en 2012, un groupe de la population soit exclu d’une citoyenneté pleine et entière du seul fait de sa sexualité. Les revendications d’ouverture du mariage, d’accès à l’adoption, à la procréation médicalement assistée (PMA) et à la présomption de parenté, sont non seulement légitimes mais en réalité ne devraient pas faire débat. L’article 1 de la constitution garantit l’égalité des droits de toutes et tous !

Inférieur au nom de quoi ?
Nous refusons la hiérarchie des individus selon leur sexualité. L’inégalité dans le droit a des conséquences dramatiques au quotidien. Mal être des jeunes gays et des jeunes lesbiennes (taux de suicide 8 à 16 fois plus élevés), rupture familiale, discriminations, agressions, insultes meurtres…

L’inégalité dans le droit décomplexe les homophobes.
Toutes celles et ceux qui se battent pour maintenir les gays et les lesbiennes dans ce statut d’infériorité juridique et sociale sont complices de l’homophobie.

Comparaison avec la pédophilie, incitations à la haine (« Les pédés au bûcher »), agressions physiques... Les homophobes sont à l’offensive. Face à leurs attaques, il n’y a aucun compromis possible et le gouvernement doit enfin affirmer que l’égalité de toutEs ne devrait pas être discutée. Nous exigeons l’ouverture du mariage et de l’adoption, l’accès à la PMA et à la présomption de parenté, au nom de l’égalité et des engagements de campagne du Parti Socialiste.

Cette vague sombre est une violence non seulement contre les gays et les lesbiennes, mais aussi contre tous les partisans de l’égalité ! Porteurs de valeurs humanistes, quelle que soit notre sexualité, nous affirmons que cette homophobie est inacceptable, que l’égalité doit triompher et que nous en sortirons tous et toutes gagnant-Es.

Que l’égalité triomphe !



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Les DurEs à queer
Trans , gouines , pédés visibles et fièrEs


Projection jeudi 13 décembre

Jeudi 13 décembre 2012 
20h30

Projection du film Harvey Milk de Gus Van Sant
(2h07)

Film réalisé à partir de la vie de Harvey Milk, militant pour les droits civiques des homosexuel-le-s puis homme politique.
L'engagement d'un homme et d'une communauté dans le San Francisco bouillonnant et révolté des années 70. 

À l'Étincelle, 26 rue Maillé
PRIX LIBRE




Contre-rassemblement SOS Tout petits Samedi 24 novembre

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Les grenouilles au bénitier !
Femmes, lesbiennes, gays, bi, trans en liberté!

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À Angers, le samedi 24 novembre, SOS Tout Petits (organisation catholique d'extrême droite), dans son délire religieux de soumission des femmes à la maternité, aux hommes et à dieu, organise encore une fois un rassemblement (une messe) contre l'avortement.
Ce rassemblement nous rappelle que le combat pour défendre l'IVG est toujours
d'actualité.



En France comme ailleurs, les églises et les États s'attaquent au droit à l'avortement, notamment en démantelant les centres d'IVG autonomes (considérés comme non rentables) et en réduisant les subventions aux centres de planification. À ces attaques structurelles s'ajoutent des manifestations religieuses, des pressions de certains médecins, des pharmacies qui refusent de délivrer la pilule du lendemain, etc...

Ces attaques ont des conséquences dangereuses pour les femmes : certaines doivent avorter à l'étranger (5000 françaises par an), ou clandestinement (une femme meurt toutes les 7 minutes dans le monde à cause d'un avortement clandestin). Ces restrictions entraînent aussi des refus de prise en charge des mineures et des étrangères sans-papiers.

Dans le cadre de la journée de lutte contre les violences faites aux femmes, nous nous rassemblerons le samedi 24 novembre :

à 14h Placette St Aubin
 (à l'angle de la rue St Aubin et du bvd Foch) où les associations SOS Femmes et le Planning familial seront présentes.

à 15h devant le palais de justice
pour faire avorter leur messe et porter nos revendications

 
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Nous refusons ces attaques contre notre droit à disposer librement de notre corps !

Parallèlement, les débats autour du projet de loi qui prévoit l'ouverture du mariage et de la parentalité aux couples de même sexe sont accaparés par les institutions religieuses et associations réactionnaires. Les propos homophobes trouvent aisément leur place au sein de ces débats encouragés par des groupes d'extrême-droite de plus en plus visibles et décomplexés, comme le montrent les récents rassemblements de ces derniers.

Si nous nous opposons à l'idée même de mariage comme symbole du système patriarcal, nous considérons que tous les couples devraient avoir le droit de choisir. Dans la société actuelle, il est un des moyens pour tendre vers une égalité des droits. De plus, la capacité à être parent ne dépend pas de l'orientation sexuelle. La question de l'homoparentalité doit aussi être débattue en dehors du cadre du mariage. La procréation médicalement assistée, aujourd'hui réservée essentiellement aux couples hétérosexuels, doit être ouverte aux couples de lesbiennes.

Nous revendiquons :

Accès libre et gratuit à l'IVG quels que soient l'âge et le terme de la grossesse. 
 
Gratuité des contraceptifs et le développement de la recherche pour la contraception masculine. 
 
L'application réelle du droit à l'IVG par la mise à disposition de moyens nécessaires

Réelle éducation sexuelle et une approche non
culpabilisante de l'IVG.
    Le combat contre la hiérarchie dans les sexualités qui découle de la norme hétérosexuelle.

D'égal à égales 19 et 20 octobre


Rappel : ce week-end, le festival d'égal à égales, débats, tables rondes, manifestation, expo, spectacle...
Pour le programme, voir un article un peu plus bas !



Projection

Le collectif Émancipation organise :

SAMEDI 8 SEPTEMBRE À 18H À L'EMBARQUEMENT
 (Mûrs-Érigne, sur les bords du Louet)

PROJECTION DE DEUX FILMS DE CAROLE ROUSSOPOULOS
Le F.H.A.R (Front Homosexuel d'Action Révolutionnaire) 1971  26min
Christiane et Monique (Lip) 1976   30 min




Week end d'Egal à Egales

La deuxième édition du week end D'Egal à Egales se déroulera les 19 et 20 octobre 2012 aux salons Curnonsky à Angers.
Le collectif s'est crée en 2011 et réunit différentes organisations associatives, syndicales et politiques.
Pour en savoir plus rendez vous sur le blog du collectif d'égal à égales.

Vendredi 19 octobre à 20h, rencontre-débat :
« Prostitution : entre réglementation et abolition,où en est-on ? »
Avec Malika Amaouche, coordinatrice du Collectif Droits & Prostitution, chargée de mission sur les questions de prostitution pour l' association Charonne; Irène Pereira, chercheuse en sociologie au GSPM/EHESS (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales); Roland Pfefferkorn, Sociologue à Université de Strasbourg, Laboratoire CNRS Cultures et Sociétés en Europe.

Samedi 20 octobre de 10h à 15h, des tables rondes : 
10h : « Education et genre »
Avec Amantine Revol de l’association les enfants d’arc en ciel-l’asso ! (association homoparentalité) et Catherine Caillé-Coutant, docteure en sciences de l’Education


11h45 : « Sexualités, maternités, vies de couples : les injonctions faites aux femmes » avec Pascale Adeline du Plannig Familial et J.M. Frey, professeur de philosophie


13h30 : « La conciliation des temps de vie » 
Avec Annie Dussuet, maître de conférences à l’Université de Nantes en sociologie du genre et Philippe Bourgeteau du collectif « être parent et travailler » ;


15h30 : Une marche revendicative et festive dans les rues d'Angers avec la fanfare « A la gueule du ch’val »

20h :  Spectacle "Prostipute" par la Compagnie Ocus.
C'est l'histoire de la rue Jean Bamlair : un texte émouvant, drôle et cru, des marionnettes, des chansons et des instruments pour parler et se poser des questions sur la prostitution.

+ un espace forum avec les stands des association et des organisations, un espace librairie

+ deux expositions "Féministes en Anjou au 20ème siècle”
et "Mosaïque du corps"

+ un accueil pour les enfants avec de la musique en vrai et des contes antisexistes
Tout ça, c'est aux Salons Curnonsky et c'est gratuit !
http://goo.gl/maps/8nVo
Pour écrire au collectif d'Egal à Egales :  feminisme49@gmail.com

Nous espérons vous voir aussi nombreux/nombreuses que l'année dernière.

Week-end inter-collectifs anti-sexistes

Le week-end des 20, 21, 22 avril, le collectif Émancipation organise un week-end inter-collectifs anti-sexistes de l'ouest, pour se rencontrer, discuter de nos modes d'action, de notre fonctionnement et des éventuels projets qu'on pourrait avoir ensemble.

Ce week-end est réservé uniquement aux collectifs anti-sexistes. 
Il y aura un concert le samedi soir et un pique-nique non-mixte est prévu le dimanche midi.




Vendredi 20h : apéro et présentation des collectifs

Samedi 11h : diffusion d'un micro-trottoir sur le sexisme

Samedi 14h-17h : discussions sur les perspectives

Repas

Samedi 20h30 : concert Folk you / Freak Magnet

Dimanche midi : pique-nique non-mixte

(Prévenir pour l'hébergement)

Rassemblement

En tant que membre du collectif d'égal à égales, le collectif émancipation vous informe d'un rassemblement le jeudi 8 mars à Angers place du ralliement,18h !

PROJECTION 19 JANVIER : BOYS DON'T CRY



Comédie dramatique américaine réalisée par Kimberly Peirce, sorie en 2000. Avec Hilary Swank, Chloë Sévigny, Alison Folland.

Teena Brandon, une jeune adolescente du Nebraska, assume mal sa condition de fille. Elle déménage à Falls City et devient Brandon, un garçon aux cheveux courts, très vite adopté par une bande de désoeuvrés. Teena-Brandon s'intègre au groupe mais reste toujours prisonnière de cette crise d'identité sexuelle qui l'a hantée sa vie entière. Elle tombe amoureuse de Lana, la petite amie de John. En découvrant la vérité sur Teena, ce dernier entre dans une rage meurtrière. D'après un fait divers authentique.

à 20h à l'Etincelle, prix libre
Nous pourrons continuer la soirée avec une discussion, selon les envies de chacun-e.